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Mediathèque de Saint Laurent de la Cabrerisse 11220
20 novembre 2018

Acquisitions Automne 2018

 

 

couv acquisitions

 

Voici un petit article pour vous présenter les derniers achats et vous donner envie de lire.

L'équipe de la Médiathèque par ses achats variés espère que chaque lecture trouvera la lecture qui lui correspond.

N'hésitez pas à tenter toutes les lectures, on fait souvent de belles découvertes. 

 

 

je sais pas

« Je sais pas » Barbara Abel 

Emma, cinq ans, disparaît lors d’une sortie scolaire. C’est l’affolement général. Un impressionnant dispositif est mis en place dans la forêt, mais finalement, Emma réapparaît. Le soulagement de Camille, sa mère, est à la hauteur de l’angoisse qu’elle a éprouvée. En vérité, elle ne le sait pas encore, pour elle, le cauchemar ne fait que commencer…

 

 

 

 

 

 

book_619

« Terres  Promises » Milena Agus                           

La terre promise. Chacun des personnages de ce roman la cherche. Pour Raffaele, juste après la guerre, elle se situe sur le Continent. D’abord à Gênes, où va le suivre Ester sa jeune épouse sarde, puis à Milan. Mais bientôt, alors que leur fille Felicita a enfin réussi à se faire des amies, c’est Ester qui a le mal du pays. Elle qui voulait tant fuir son village, le voit, avec la distance, comme un eldorado. Alors la famille y retourne. Pas forcément pour le meilleur… Felicita s’adapte, s’initie au communisme et tombe amoureuse du seul noble du coin. De leurs étreintes champêtres naîtra Gregorio, drôle de petit bonhomme, qu’elle élèvera seule à Cagliari. Et qui trouvera sa terre promise à New York, comme pianiste de jazz. Au détour des pages, on croisera une grand-mère acariâtre qui découvre la mer au crépuscule de sa vie. Une vieille fille dégoûtée par la nourriture que l’amour rendra fin cordon bleu. Un homme échoué sur la plage comme une épave. Mais surtout Felicita, celle qui sait que les gentils ne sont pas nécessairement des perdants et que la terre promise est juste au coin de la rue.

 

 

 

chocolov

« Chokolov City » Jonathan Beranger                                

Qui se souvient des Bulgares de New York ? Leur présence en Amérique fut restreinte, mesurée, typique du génie de ce peuple confidentiel. Ainsi il ne se trouva personne pour pleurer l’amour malheureux qui unit l’actrice Elaine Chokolov au pâle Bogdan Oblanov, personne non plus pour étudier l’étonnante genèse du talent littéraire de Dean Grosslick. On ne sait toujours rien des conspirations de la camériste Feya Grubev, pas plus qu’on ne fit l’effort de comprendre et de louer le sens du devoir inégalé de Granville Kling. Nul ne tenta d’élucider le mal mystérieux qui égara la raison de Cornell Morris, et le monde entier s’appliqua à ignorer le destin fantomatique et pourtant fondamental de Jon Khalov, l’homme au beau visage. Tant de fortunes diverses, eussent-elles été moins bulgares, auraient fourni la matière de savoureuses comédies et de drames pitoyables, universellement acclamés… Ou peut-être fallait-il justement être bulgare et rien que bulgare pour vivre ces aventures-là, et sans doute devra-t-on l’être encore davantage pour les lire. Chokolov City est un roman composé de six chapitres qui retracent le destin d’une communauté imaginaire de Bulgares à New York, des années 1900 aux années 1960. Ces Bulgares doivent très peu aux Bulgares réels, pas plus que le cadre ne prétend restituer le véritable New York. Parce que Chokolov City se réclame d’une autre authenticité, celle du fantasme désuet de la grande ville américaine moderne, tel que la comédie classique hollywoodienne l’a façonné. Dans ce New York de studio, produit par la MGM, dirigé par George Cukor, vit et meurt un peuple poli, élégant et raffiné, sans doute trop parfait pour jamais exister.

chante rossignol

« Chante Rossignol » Gilbert Bordes                                               

Après avoir soudainement quitté son village, Joseph y revient plusieurs décennies plus tard, en vieux loup de mer que rien n’a assagi ou presque. Seule son affection pour Alexandre, enfant désemparé, trouve une place dans son cœur fatigué. Et puis, il y a Margot, son amour de jeunesse, qu’il n’a jamais oubliée… Quel est le secret de Joseph qui semble le ronger ?

 

 

 

 

 

 

là où les chiens

« Là où les chiens aboient par la queue » Estelle-Sarah Bulle       

Une jeune femme née en banlieue parisienne, que seuls sa couleur de peau et des souvenirs de vacances relient à la Guadeloupe d’où est originaire son père, s’interroge sur son identité métisse. À sa demande, Antoine, une vieille tante baroque et indomptable, déroule l’histoire de leur famille, les Ezechiel, qui épouse celle de l’île dans la seconde moitié du xxe siècle. Dans un récit bouillonnant, entrecoupé par les commentaires des autres membres de la famille, Antoine raconte : l’enfance dans la campagne profonde entre un père un peu brigand et une mère à la peau claire prématurément disparue, les splendeurs et les taudis de Pointe-à-Pitre, le commerce dans la mer des Caraïbes, les traditions et les croyances, l’irruption de la modernité, les rapports hommes-femmes, les clivages d’une société très hiérarchisée… Au fil des échanges se dessine aussi l’état d’esprit de cette génération d’Antillais, « immigrés de l’intérieur », qui choisiront de s’installer en métropole. Porté par des personnages inoubliables et une langue bluffante d’inventivité, Là où les chiens aboient par la queue restitue toutes les nuances de la culture guadeloupéenne, ses richesses et ses blessures secrètes.

               

 

monarque

« Le monarque des ombres » Javier Cercas

Un jeune homme pur et courageux, mort au combat pour une cause mauvaise (la lutte du franquisme contre la République espagnole), peut-il devenir, quoique s’en défende l’auteur, le héros du livre qu’il doit écrire ? Manuel Mena a dix-neuf ans quand il est mortellement atteint, en 1938, en pleine bataille, sur les rives de l’Èbre. Le vaillant sous-lieutenant, par son sacrifice, fera désormais figure de martyr au sein de la famille maternelle de Cercas et dans le village d’Estrémadure où il a grandi. La mémoire familiale honore et transmet son souvenir alors que surviennent des temps plus démocratiques, où la gloire et la honte changent de camp. Demeure cette parenté profondément encombrante, dans la conscience de l’écrivain : ce tout jeune aïeul phalangiste dont la fin est digne de celle d’Achille, chantée par Homère – mais Achille dans l’Odyssée se lamentera de n’être plus que le “monarque des ombres” et enviera Ulysse d’avoir sagement regagné ses pénates.
Que fut vraiment la vie de Manuel Mena, quelles furent ses convictions, ses illusions, comment en rendre compte, retrouver des témoins, interroger ce destin et cette époque en toute probité, les raconter sans franchir la frontière qui sépare la vérité de la fiction ?
L’immense écrivain qu’est Javier Cercas affronte ici ses propres résistances pour mettre au jour l’existence du héros fourvoyé, cet ange maudit et souverain dont il n’a cessé, dans toute son œuvre, de défier la présence.

 

 

seigneur de charny

« Le seigneur de Charny » Laurent Decaux                                    

Champagne, 1382. Alors que Jacques de Charny espérait être accueilli chez lui à bras ouverts, après six années de croisade, il se heurte à l’hostilité de tous. Sa mère, l’évêque et sa promise lui ont tourné le dos pendant son absence. Mais la visite inattendue d’un jeune seigneur va s’avérer providentielle pour Jacques… Un grand roman d’aventure où la passion, l’audace et l’amitié triomphent de la mort et du déshonneur !

                                                                                             

 

 

 

 

 

sortilège du lac

« Les sortilèges  du lac » Marie-Bernadette Dupuy                       

Jacinthe exerce son métier d’infirmière avec passion. Elle a épousé son grand amour, mais refuse toujours de lui donner un enfant, pour pouvoir se consacrer à sa vocation. Ses parents en revanche ont décidé d’élever Anathalie, la fille d’Emma, tragiquement disparue dans les eaux du lac, et ils se préparent à accueillir une nouvelle naissance, l’enfant de la réconciliation. Mais un destin cruel s’acharne sur la famille de Jacinthe. Un tourbillon de surprises et de révélations. 

 

 

 

 

 

 

ainsi vont les étangs

« Ainsi vont  les étangs, ainsi va le canal. Jacques et Joseph » Yvan Figon

« Tu crois qu’elle voudra ? Et si son père ne te la donne pas ?

Cette pensée ne l’avait même pas effleuré ; il lui paraissait que de tout temps Lucia lui avait été destinée. Il était reparti un peu désemparé par cette réponse à laquelle il ne s’attendait pas. En chemin, il se disait que pourtant Lucia, en lui offrant ses dix-huit ans, avait répondu à la question qu’il n’avait pas su lui poser. »

 

 

 

 

première personne

« Première personne » Richard Flanagan 

Kif Kehlmann est dans l'impasse. Il n'est plus capable de subvenir aux besoins de sa famille. Le roman qu'il essaie d'écrire depuis des années n'avance pas. Et pour couronner le tout, il est tasmanien - un descendant de bagnard, un moins que rien. Mais un soir, il reçoit un coup de fil de Ray, un ami d'enfance aux relations troubles, qui assure depuis quelques mois la protection rapprochée du plus célèbre escroc d'Australie, Siegfried Heidi. Ce dernier, en passe d'être jugé pour avoir fauché plus de sept cents millions de dollars aux banques, cherche quelqu'un pour rédiger ses Mémoires. Kif n'a-t-il pas toujours voulu devenir écrivain ? Quittant la Tasmanie et sa femme enceinte de huit mois, il rejoint Heidl dans les bureaux de son éditeur à Melbourne, où il disposera de six semaines pour produire un manuscrit. S'engage alors un singulier jeu de dupes. Paranoïaque, manipulateur, le maitre fraudeur se dérobe aux questions précises, retarde l'avancée du texte, et distille à plaisir des informations contradictoires. Peu à peu Kif tombe sous l'insidieuse emprise de cet homme qui a placé son existence, par-delà le bien et le mal, sous le signe du mensonge et de la corruption de toute chose. Et qui invite Kif à la faire sienne, la vivre en miroir, tel un adieu à ses valeurs, un affranchissement : une inexorable libération.

 

 

éléni

« Eleni ou personne » Rhéa Galanaki                                             

Première femme peintre de la Grèce moderne, Eléni Altamura-Boukoura est peu connue en dehors de son pays. Sa trajectoire n'en est pas moins fascinante. A une époque où cette activité était pour le moins réprouvée lorsqu'elle était pratiquée par les jeunes filles, elle a dessiné sans discontinuer dès son plus jeune âge. Soutenue par son père, elle a quitté Athènes pour l'Italie afin d'y parfaire son instruction. C'est grimé en homme, sous le nom de Personne, qu'elle a pu pénétrer dans les écoles d'art les plus courues, redevenant Eléni dans son intimité et nouant ainsi une idylle avec le peintre italien Francesco Saverio Altamura. Retraçant le destin de cette femme passionnée, Rhéa Galanaki offre une œuvre bouleversante, à la fois historique et poétique, interrogeant le statut de la femme, qui plus est artiste, sur fond de bouleversements politiques qui allaient dessiner les contours des nations européennes en général, grecque et italienne en particulier.

 

 

 

camarade papa

« Camarade papa » Gauz                                                    

Amsterdam, de nos jours. Un enfant immigré est élevé par des parents communistes, tendance Kim-il-Sung. Sa vision du monde en porte la marque. Son vocabulaire, aussi. Et comme Momo, le héros de La Vie devant soi, il ne mâche pas ses mots.

Un jour, ses parents l'envoient en Afrique retrouver sa grand-mère maternelle et ses racines. Il est en quelque sorte « en mission » : observer le monde post-colonial tout en restant fidèle, au milieu des torsions idéologiques, à l'enseignement révolutionnaire reçu dans son enfance.

Sur place, il croise les traces – et les archives – d'un de ses ancêtres. Jeune homme de 17 ans, Dabilly a fuit en 1880 la France et une carrière toute tracée à l'usine pour tenter l'aventure coloniale. Dans une « côte de l'Ivoire » désertée par l'armée française, il fait la connaissance d'hommes atypiques, dirigeants de maisons de commerce, qui négocient avec les tribus africaines, contre les Anglais, pour établir de nouveaux comptoirs et faire fructifier les échanges.

Au fur et à mesure qu'ils progressent à l'intérieur des terres, ces hommes découvrent un pays presque inexploré, avec ses légendes, ses pactes, ses rituels, ses codes amoureux... Au milieu de ces mystères, la lutte entre les aventuriers et les administrateurs coloniaux, contribue à façonner l'histoire.

Le regard humain et décalé de Gauz fait vivre des personnages tout en contrastes, habités par une lumière solaire, qui ne se soucièrent jamais d'occuper le devant de la scène. Une chronique ethnologique pétrie de tendresse et d'humour.

 

frere soeur

 « Frère et sœur»  Esther Gerritsen

Olivia n’a pas revu Marcus, son frère, depuis des années. Leurs routes ont divergé : elle, sa carrière qu’elle fait passer avant tout ; lui, sa vie de bohème avec ses joies et ses risques. Lorsqu’un événement tragique survient pour Marcus, Olivia se surprend à vouloir lui porter secours. Sans se douter des conséquences que cette empathie va entraîner. Un roman psychologique pétri d’humanité à l’ironie mordante !                    

 

 

 

 

 

 

quelques pas

« Quelques pas dans la neige » Georges-Patrick Gleize     

Annie, serveuse dans un café d’une haute vallée des Pyrénées ariégeoises, disparaît mystérieusement un soir de neige. Les gendarmes soupçonnent Antoine, un médecin récemment installé. Mais quelques semaines plus tard, la jeune femme est retrouvée, errant dans la montagne et amnésique. Que lui est-il arrivé ? Un suspense palpitant dans la France des années 60 !

 

 

 

 

 

 

lacrimae

« Lacrimae » Andrea H Japp                                                           

À l’abbaye de la Sainte-Trinité, un mercier a été sauvagement poignardé et un jeune moine découvert mort en forêt, tous deux la main tranchée. L’arrogant seigneur abbé refuse que la justice enquête : qui protège-t-il ? Et comment faire cesser les assassinats qui se succèdent ? Héluise, travestie en médecin itinérant, décide de se pencher sur cette énigme sanglante.

 

 

 

 

 

 

chien-loup

« Chien loup » Serge Joncour                                              

L'idée de passer tout l'été coupés du monde angoissait Franck mais enchantait Lise, alors Franck avait accepté, un peu à contrecœur et beaucoup par amour, de louer dans le Lot cette maison absente de toutes les cartes et privée de tout réseau. L'annonce parlait d'un gîte perdu au milieu des collines, de calme et de paix. Mais pas du passé sanglant de cet endroit que personne n'habitait plus et qui avait abrité un dompteur allemand et ses fauves pendant la Première Guerre mondiale. Et pas non plus de ce chien sans collier, chien ou loup, qui s'est imposé au couple dès le premier soir et qui semblait chercher un maître. En arrivant cet été-là, Franck croyait encore que la nature, qu'on avait apprivoisée aussi bien qu'un animal de compagnie, n'avait plus rien de sauvage ; il pensait que les guerres du passé, où les hommes s'entretuaient, avaient cédé la place à des guerres plus insidieuses, moins meurtrières. Ça, c'était en arrivant. Serge Joncour raconte l'histoire, à un siècle de distance, d'un village du Lot, et c'est tout un passé peuplé de bêtes et anéanti par la guerre qu'il déterre, comme pour mieux éclairer notre monde contemporain. En mettant en scène un couple moderne aux prises avec la nature et confronté à la violence, il nous montre que la sauvagerie est toujours prête à surgir au cœur de nos existences civilisées, comme un chien-loup.

 

longue impatience

« Une longue impatience » Gaëlle Josse                                                    

C’est l’histoire d’un fils qui part et d’une mère qui attend. C’est un couple qui se blesse et qui s’aime. C’est en Bretagne, vers les années soixante, et ce pourrait être ailleurs, partout où des femmes attendent ceux qui partent, partout où des mères s’inquiètent : Une femme perd son mari, pêcheur en mer, et se remarie avec le riche pharmacien du bourg. Son fils, issu de sa première union, a du mal à s’intégrer dans cette nouvelle famille et finit lui aussi par prendre la mer. Commence alors pour la narratrice une longue attente qu’elle tentera, tant bien que mal, de combler par l’imagination du grand banquet qu’elle préparera pour son fils, à son retour.

 

 

 

 

midi

« Midi » Chloé Korman                                                                   

Dans l'hôpital parisien où elle exerce, Claire voit arriver Dominique, un ancien amant. La maladie de Dom, déjà à un stade très avancé, met en échec ses qualités de médecin et fait resurgir le souvenir de leur rencontre. Quinze ans plus tôt, Claire est partie à Marseille, avec son amie Manu, travailler dans le théâtre associatif que dirigeait Dominique. Au milieu d'un groupe d'enfants occupés à apprivoiser la scène et embarqués dans une adaptation tumultueuse de La Tempête de Shakespeare, elles sont troublées par une silhouette fragile : celle d'une petite fille marginale, aussi mal à l'aise dans sa famille que parmi les autres enfants, et qui semble les appeler à l'aide. Pourtant la joie de l'été, la découverte du désir et le cercle des silences coupables les empêchent de prendre conscience du drame en train de se nouer.

 

 

 

millesime 54

« Millésime 54 » Antoine Laurain                                                               

Comment une très bonne bouteille de Château Saint-Antoine 1954, propulse quatre personnages que peu de choses relient dans un « autrefois » au charme certain d’un Paris éternel, en compagnie de Jean Gabin et d’Audrey Hepburn, jusqu’aux mystérieuses vignes du Beaujolais qui livrent leur secret ? C’est l’expérience fantastique que vont vivre Hubert, Magalie, Julien et Bob en partageant ce vin exceptionnel dans leur immeuble parisien.

Délicieuse rupture temporelle, invitation au voyage qui fait la part belle à l’amour, à l’amitié et au désir de merveilleux qui sommeille en chacun de nous.

 

 

 

enfant des silences

« L’enfant des silences » Philippe Lemaire                         

À l’abbaye de la Sainte-Trinité, un mercier a été sauvagement poignardé et un jeune moine découvert mort en forêt, tous deux la main tranchée. L’arrogant seigneur abbé refuse que la justice enquête : qui protège-t-il ? Et comment faire cesser les assassinats qui se succèdent ? Héluise, travestie en médecin itinérant, décide de se pencher sur cette énigme sanglante.

 

 

 

 

 

 

histoire abeilles

« Une histoire d’abeilles » Maja Lunde                                                      

Angleterre, 1851. William essaie de concevoir une ruche révolutionnaire. Ohio, 2007. George, apiculteur bourru, ne trouve personne pour reprendre son exploitation. Chine, 2098. Les insectes ont disparu. Comme tous ses compatriotes, Tao passe ses journées à polliniser la nature à la main. Mais afin de sauver son petit garçon malade, elle doit se plonger dans les origines du plus grand désastre de l’humanité. Une saga enthousiasmante et addictive !

 

 

 

 

 

 

petit carnet rouge 1

« Le petit carnet rouge » Sophia Lundberg  (2 volumes)

À 96 ans, Doris habite seule à Stockholm. Sa famille se réduit désormais à une petite-nièce qui vit aux États-Unis. Son bien le plus précieux est un carnet d’adresses en sa possession depuis 1928 et qui contient le souvenir des gens qu’elle a rencontrés au fil de son existence, et dont elle a rayé les noms à mesure qu’ils ont quitté ce monde. De son enfance parisienne à sa vie new-yorkaise puis suédoise, l’existence de Doris est une épopée romantique, tragique et émouvante.

 

           

 

 

 

porte des maudits

« La porte des maudits » Madeleine Mansiet-Berthaud    

En cette fin du XVIIe siècle, Guilhem appartient à la « caste maudite » des cagots. Son désir de reconnaissance et le hasard des rencontres le mèneront à Auch, cité gasconne où, au pied de la cathédrale, son destin basculera. Deviendra-t-il enfin ce qu’il rêvait d’être, un sculpteur sur bois au talent reconnu ? Parviendra-t-il à s’affranchir de sa condition et à bannir pour toujours de la cathédrale cette porte des Maudits réservée aux cagots ?

 

 

 

 

 

 

des mirages

« Des mirages plein les poches » Gille Marchand

Un musicien de rue, un homme qui retrouve sa vie au fond d’une brocante, des chaussures qui courent vite, deux demi-truites, une petite lampe dans un couffin, le capitaine d’un bateau qui coule, la phobie d’un père pour les manèges, un matelas pneumatique… On ne sait jamais qui sont les héros des histoires de Gilles Marchand : objets et personnages se fondent, se confondent et se répondent chez cet auteur qui sait, comme nul autre, exprimer la magie du réel. Sous ses airs de fantaisiste, il raconte la profondeur de l’expérience humaine.

 

 

 

           

les enfants après eux

« Leurs enfants après eux »  Nicolas Mathieu                        

Août 1992. Une vallée perdue quelque part dans l'Est, des hauts-fourneaux qui ne brûlent plus, un lac, un après-midi de canicule. Anthony a quatorze ans, et avec son cousin, pour tuer l'ennui, il décide de voler un canoë et d'aller voir ce qui se passe de l'autre côté, sur la fameuse plage des culs-nus. Au bout, ce sera pour Anthony le premier amour, le premier été, celui qui décide de toute la suite. Ce sera le drame de la vie qui commence. Avec ce livre, Nicolas Mathieu écrit le roman d'une vallée, d'une époque, de l'adolescence, le récit politique d'une jeunesse qui doit trouver sa voie dans un monde qui meurt. Quatre étés, quatre moments, de Smells Like Teen Spirit à la Coupe du monde 98, pour raconter des vies à toute vitesse dans cette France de l'entre-deux, des villes moyennes et des zones pavillonnaires, de la cambrousse et des ZAC bétonnées. La France du Picon et de Johnny Hallyday, des fêtes foraines et d'Intervilles, des hommes usés au travail et des amoureuses fanées à vingt ans. Un pays loin des comptoirs de la mondialisation, pris entre la nostalgie et le déclin, la décence et la rage.

 

 

 

rivière tremblay

« Rivière tremblante » André A. Michaud

Août 1979. Michael, douze ans, disparaît dans les bois de Rivière-aux-Trembles sous les yeux de son amie Mamie Duchamp. Il semble avoir été avalé par la forêt. En dépit de recherches poussées, on ne retrouvera qu'une chaussure de sport boueuse. Trente ans plus tard, dans une ville voisine, la petite Billie Richard, qui s'apprête à fêter son neuvième anniversaire, ne rentre pas chez elle. Là encore, c'est comme si elle avait disparu de la surface de la terre. Pour son père comme pour Mamie, qui n'a jamais oublié le traumatisme de l'été 79, commence une descente dans les profondeurs du deuil impossible, de la culpabilité, de l'incompréhension. Ils ne savent pas qu'un autre drame va frapper le village de Rivière-aux-Trembles...

                       

 

                       

 

Matin d'écume

 « Matin d’écume » Anne Michel

Sur l’île sauvage d’Adrec, vit une petite communauté d’habitants qui se connaît bien et s’entraide comme elle peut. C’est autour du nouveau médecin, Lucas, tout de bienveillance et d’écoute, que chacun trouvera peu à peu le chemin vers la renaissance et la sérénité. Un roman chaleureux et sensible au cœur d’un petit monde insulaire conjuguant les élans du cœur et la difficulté d’être.          

                                              

 

 

 

 

 

 

Costa Brava

« Costa Brava » Eric Neuhoff                                                                      

« Je repense à toutes ces vacances d’été. Je me souviens que nous les attendions toute l’année. Elles avaient l’air de ne jamais vouloir finir. A partir de 1960, nous sommes allés sur la Costa Brava. Cela a duré des années. Nous ne verrons plus jamais ça revenir. »

 

 

 

                                              

                                                                                                         

 

entre deux mondes

« Entre deux mondes » Olivier Norek                    

Fuyant un pays en guerre, Adam doit retrouver à Calais sa femme et sa fille qui sont parties avant lui. Mais arrivé là-bas, personne ! Ce qu’il découvre, en revanche, c’est une zone de non-droit. Quand un crime est commis, Adam décide d’intervenir. Pourquoi ? Tout simplement parce qu’il est flic, et que face à l’espoir qui s’amenuise de revoir un jour ses proches, cette enquête est le seul moyen pour lui de ne pas sombrer.
Un roman choc

 

 

 

 

 

chère mrs bird

« Chère Mrs Bird » AJ Pearce

Londres, 1941. 
À vingt-quatre ans, Emmy n'a qu'un rêve : devenir reporter de guerre. Un rêve qui semble sur le point de se réaliser lorsque la jeune femme décroche un poste au London Evening Chronicles. Enfin, Emmy va pouvoir entrer dans le vif du sujet, partir sur le front, se faire un nom au fil de la plume ! Las, c'est un poste d'assistante à la rédaction du magazine féminin Women's Day qui lui est offert. 
La mission d'Emmy : répondre aux courriers des lectrices adressés à Mrs Bird, la rédactrice en chef du journal. Mais attention, la terrifiante Mrs Bird est très stricte, et seules les demandes les plus vertueuses se verront offrir une réponse expéditive dans le poussiéreux journal. Un cas de conscience pour la jeune journaliste qui refuse de laisser ses concitoyennes en mal d'amour et de soutien amical, errer dans les limbes en raison du diktat imposé par une vieille conservatrice bon teint. Et Emmy a un plan pour outrepasser l'autorité de Mrs Bird... 
Alors que la ville sombre peu à peu sous les bombes, Emmy va mettre sa carrière en jeu pour venir en aide aux femmes restées seules à l'arrière. L'heure de la résistance féminine a sonné !  

 

beau mystère

« Le beau mystère » Louise Penny                                                  

Dans un monastère canadien connu pour ses chants grégoriens, le chef de chœur est retrouvé mort. Lors de l’autopsie, une feuille tombe de sa robe. Un étrange chant grégorien y est inscrit. La victime aurait-elle donné sa vie pour protéger ce document ? Avec ce huis clos monacal aux accents du Nom de la rose, Louise Penny signe un roman captivant et mystique, à la bande-son divine.

 

 

 

 

 

 

petits miracles

« Petits miracles au bureau des objets trouvés » Salvator Basile              

Poupées, sacs à main, carnets, téléphones, lunettes… On ne s’intéresse jamais aux objets trouvés. Pourtant, ils ont appartenu à quelqu’un, ils ont été choisis, aimés.
Dans une petite gare italienne, un homme les collectionne avec dévotion. Ce sont ses seuls amis, croit-il. Jusqu’au jour où il trouve un cahier rouge abandonné…

 

 

 

 

 

 

trois jours

« Trois jours chez ma tante » Yves Ravay                                       

Marcello Martini est convoqué par sa vieille tante fortunée qui finit ses jours dans une maison de retraite médicalisée. La vieille dame, qui a toute sa tête, envisage de déshériter son neveu et de mettre fin à son virement mensuel. S’engage un bras 
de fer entre les deux personnages qui dévoilera pourquoi Marcello a précipitamment quitté la France il y a vingt ans. Mais qui est Marcello ? 
Le puzzle va progressivement se reconstituer. Est-ce un piège dans lequel il tombe ? Va-t-il se refermer sur lui ?

 

 

 

 

or du lin

« L’or du lin » Joël Reguénés                                                           

Après avoir été navigateur hors pair, Baptiste se lance dans le négoce en toiles de lin et voiles de chanvre. Arpentant les campagnes de la Bretagne, pour faire l’acquisition des meilleures toiles, sillonnant les mers du globe pour les vendre, il amassera assez d’écus pour fonder une riche dynastie de négociants et devenir un Monsieur de Saint-Malo. Une grande saga foisonnante portée par d’admirables personnages !

 

 

 

 

 

 

concours pour le paradis

«Concours  pour le paradis » Clélia Renucci

Dans le décor spectaculaire de la Venise renaissante, l'immense toile du Paradis devient un personnage vivant, opposant le génie de Véronèse, du Tintoret et des plus grands maîtres de la ville. Entre rivalités artistiques, trahisons familiales, déchirements politiques, Clélia Renucci fait revivre dans ce premier roman le prodige de la création, ses vertiges et ses drames.

 

 

 

 

 

maison golden

« La maison golden » Salman Rushdi                                  

Le jour de l'investiture de Barack Obama, un énigmatique millionnaire venu d'un lointain Orient prend ses quartiers dans le bijou architectural des "Jardins", une communauté préservée nichée au cœur de Greenwich Village, à New York. Flanqué d'une jeune maîtresse russe, la sulfureuse Vasilisa, Néron Golden est accompagné de ses trois fils adultes, aussi brillants que névrosés : Petronius, dit Petya, l'agoraphobe génie de l'informatique, Lucius Apuleius, dit Apu, l'artiste mystique, et Dionysos, dit D., l'indéfini sexuel. Parmi les demeures qui ceignent les Jardins se trouve celle de René Unterlinden, jeune cinéaste putatif, traumatisé par la récente disparition de ses parents dans un accident. Quand les Golden emménagent, René, comprenant que ces fascinants nouveaux voisins seront son remède et sa muse, fait leur connaissance, devient leur familier et calque l'écriture du scénario de son film sur les événements qui secouent cette maisonnée dont bien des secrets, passés, présents et futurs, lui échappent encore. Le passé ? C'est l'Inde que Néron Golden a fuie mais qui va les rattraper, lui et les siens. Le présent, ce sont les huit années du mandat Obama, l'Amérique des grandes espérances de 2008 et leur progressive dégradation, tandis qu'en embuscade un Joker aux cheveux teints s'apprête à accéder au pouvoir... L'avenir, c'est celui, obscur, d'un monde contemporain livré au doute, mais dont l'éblouissante imagination de Salman Rushdie transcende les peurs, les rêves et les égarements.

 

asta

« Asta » Stefanson                                                               

Reykjavik, au début des années 50. Sigvaldi et Helga décident de nommer leur deuxième fille Ásta, d’après une grande héroïne de la littérature islandaise. Un prénom signifiant – à une lettre près – amouren islandais qui ne peut que porter chance à leur fille… Des années plus tard, Sigvaldi tombe d’une échelle et se remémore toute son existence  : il n’a pas été un père à la hauteur, et la vie d’Ásta n’a pas tenu cette promesse de bonheur.
Jón Kalman Stefánsson enjambe les époques et les pays pour nous raconter l’urgence autant que l’impossibilité d’aimer. À travers l’histoire de Sigvaldi et d’Helga puis, une génération plus tard, celle d’Ásta et de Jósef, il nous offre un superbe roman, lyrique et charnel, sur des sentiments plus grands que nous, et des vies qui s’enlisent malgré notre inlassable quête du bonheur.

 

 

 

cueilleuse de thé

« Cueilleuse de thé » Jeanne-Marie Sauvage-Avit                         

Au Sri Lanka, l’ancien Ceylan, Shemlaheila est cueilleuse de thé dans une plantation. Depuis dix ans déjà, elle ploie sous les lourds sacs de feuilles de thé et sous le joug des contremaîtres, mais, à l’aube de ses vingt ans, la jeune femme a d’autres rêves. Elle est bien décidée à partir, à échapper à la condition de celles qui, dans les théiers et dans les maisons, sont au service des hommes. Elle ne sera pas cueilleuse de thé toute sa vie, comme sa mère, comme toutes ces femmes asservies qui n’ont d’autres horizons que les interminables rangées de théiers…

Du Sri Lanka à Londres, à la découverte d’un pays complètement différent du sien, Shemla va découvrir une autre culture, d’autres personnes et surtout d’autres envies. La cueilleuse de thé qu’elle a toujours été choisira-t-elle de revenir au pays, ou de se créer une nouvelle vie ?

 

 

 

roissy

« Roissy » Tiffany Tavernier                                                

Les discussions des voyageurs de toutes nationalités, les panneaux où viennent s’afficher les numéros de vol, les boutiques, les enseignes clignotantes, les annonces lumineuses, les bribes échangées par les personnels navigants ou au sol, les demandes affolées des passagers en transit, égarés dans le vaste aéroport : tel est le quotidien de la narratrice de ce roman, son environnement visuel et sonore, depuis qu’elle a élu domicile à Roissy. Sans cesse en mouvement, toujours tirant derrière elle une petite valise, elle va d’un terminal à l’autre, engage des conversations, s’invente des vies, éternelle voyageuse qui pourtant ne montera jamais dans un de ces avions dont le spectacle l’apaise. Passée maîtresse dans l’art de l’esquive, elle sait comment éviter les questions trop pressantes. Cette femme sans domicile fixe, dont Tiffany Tavernier fait l’héroïne de son nouveau roman, est ce qu’il est convenu d’appeler une « indécelable ». Arrivée à Roissy dans une grande confusion mentale, sans mémoire ni passé, elle a trouvé dans ce non lieu qui les englobe tous un cocon protecteur. Au fil des jours, elle s’y est reconstruit une vie. Les subterfuges qu’elle déploie pour rester propre et bien habillée, les rencontres incongrues, les épisodes cocasses – comme ces sangliers qui ont envahi les pistes –, mais aussi les angoisses d’être repérée par les forces de l’ordre, elle les confie à Vlad, l’homme dont elle partage parfois le matelas dans la galerie souterraine d’où lui ne sort jamais. Instituant habitudes et rituels comme autant de remparts au désarroi qui souvent l’assaille, s’attachant aux lieux et aux êtres – notamment à cet « homme au foulard » présent tous les jours, comme elle, à l’arrivée du vol Rio-Paris –, la femme sans nom fait corps avec l’immense aérogare. Mais, bientôt, ce fragile équilibre est rompu. Quand Vlad tombe très malade, la bulle de sécurité vole en éclats. Avec un art consommé de la narration, Tiffany Tavernier nous entraîne alors sur les chemins d’une belle et difficile reconquête. Bouleversée par la relation qui se noue avec Luc, « l’homme au foulard », celle qui lui dit se prénommer Anne va, petit à petit, apprendre à renoncer à son présent d’aéroport pour accepter qui elle est. Magnifique portrait de femme rendue à elle-même à la faveur des émotions qui la traversent.

 

ne m'appelle pas

« Ne m’appelle pas capitaine » Lyonel Trouillot                            

Une étudiante en journalisme issue de la grande bourgeoisie blanche de Port-au-Prince fait l'expérience de l'altérité en se penchant sur la mémoire d'un homme surnommé Capitaine, son quartier en désuétude jadis bastion des luttes politiques, ses fantômes et, ce faisant, trouve avec lui et d'autres "échoués" le chemin pour faire de la vie une cause commune. Avec «Ne m'appelle pas Capitaine», Lyonel Trouillot retrouve l'altitude unique et enivrante de «La Belle amour humaine», aussi littéraire qu'universelle.

 

 

 

 

 

 

 

fais de moi ta colère

« Fais de moi la colère » Vincent Villeminot

Sur les bords du lac Leman, la jeune Ismaëlle va se lancer dans une pêche extraordinaire. Quel est ce nouveau Léviathan qui hante les profondeurs du lac ? Un récit puissant et halluciné sur le désir sous toutes ses formes.

Le jour où son père, pêcheur de longue date, se noie, Ismaëlle se retrouve seule. Seule, vertigineusement, avec pour legs un métier d'homme et une chair de jeune fille. 
Mais très vite, sur le lac franco-suisse, d'autres corps se mettent à flotter. Des morts nus, anonymes, par dizaines, par centaines, venus d'on ne sait où –; remontés des profondeurs de la fosse. 
C'est en ces circonstances qu'Ismaëlle croisera Ezéchiel, fils d'un " Ogre " africain, qui a traversé les guerres du continent noir et vient sur ces rives affronter une Bête mystérieuse. 

 

 

 

pense aux pierres

« Pense aux pierres sous tes pas » Antoine Wauters         

Dans un pays dont on ignore le nom, où se succèdent des dictateurs qui tentent de le moderniser, une sœur et son frère jumeau vivent à la ferme de leurs parents, au milieu des plaines. Marcio travaille aux champs avec le père, un homme violent, tandis que Léonora s'occupe de la maison avec sa mère. Ils ont douze ans à peine et leur complicité semble totale, leurs jeux interdits irrépressibles. Mais un soir, alors que leurs corps se rapprochent doucement dans le fenil, le père surgit et voit se confirmer ce qu'il a toujours suspecté. Tandis qu'un nouveau coup d'Etat vient de se produire, les parents décident de séparer les jumeaux. Commence alors un combat long et incertain, celui de la réinvention de soi et de la quête obstinée de liberté.

 

 

                                                                      

 

âge d'or

BD « L’âge d’or » Pedrosa                                       

La légende parle d'un "âge d'or, où vallées et montagnes n'étaient entravées d'aucune mu-raille. Où les hommes allaient et venaient librement..." Mais ce temps lointain est bien révolu. Le royaume est accablé par la disette et les malversations des seigneurs de la cour. À la mort du vieux roi, sa fille Tilda s'apprête à monter sur le trône pour lui succéder. Avec le soutien du sage Tankred et du loyal Bertil, ses plus proches conseillers et amis, elle entend mener à bien les réformes nécessaires pour soulager son peuple des maux qui l'accablent. Mais un complot mené par son jeune frère la condamne brusquement à l'exil. Guidée par des signes étranges, Tilda décide de reconquérir son royaume avec l'aide de ses deux compagnons. Commence alors un long périple, où leur destin sera lié à "L'âge d'or" ; bien plus qu'une légende, bien plus que l'histoire passée des hommes libres et de leur combat, c'est un livre oublié dont le pouvoir est si grand qu'il changera le monde.

 

 

rire de l'ogre BD

BD  « Rire de l’ogre » Sandrine Martin Pierre Peju            

Eté 1963. Un jeune Français séjourne chez son correspondant allemand à Kehlstein. Il y fait la rencontre de Clara, fille d'un ancien médecin de la Wehrmacht. Enfants de la paix, ils comprennent que certains traumatismes de la Seconde Guerre mondiale sont toujours vivaces. Pendant des années, leurs destins vont se croiser et se mêler, jusqu'à ce que le rire de l'ogre éclate enfin. Et que le mal qui ronge soit expurgé.

 

 

 

 

 

 

DOCUMENTAIRES

autour de la maternité

« Autour de la maternité d’Elne . de la retirada »

1939. La Retirada pousse sur les routes de France les Républicains espagnols fuyant la dictature de Franco. Parquées dans des camps de concentration tels qu'on les appelait alors notamment dans les Pyrénées-Orientales, de nombreuses femmes internées accouchent dans des conditions terribles. Une maternité créée par l'institutrice Elisabeth Eidenbez, collaboratrice du Secours suisse aux enfants, leur vient en aide, installée dans le château d'En Bardou. 
Elle accueillera de nombreuses femmes pendant la Seconde Guerre mondiale, espagnoles, juives, françaises, tziganes, d'au moins quinze nationalités différentes. Entre 1939 et 1944, près de 600 enfants voient le jour dans cet havre de paix au milieu d'un océan de souffrances. Oubliée jusqu'au milieu des années 1990, la Maternité est restaurée et acquise par la ville d'Elne en 2005. Protégée depuis 2012 comme monument historique, elle est aujourd'hui un lieu permanent de mémoire. 
C'est en partant de cette histoire longtemps méconnue, que ce numéro spécial de la revue Exils et migrations ibériques associé à la revue Riveneuve Continents explore l'action humanitaire menée notamment en direction des enfants victimes des conflits, depuis la guerre d'Espagne jusqu'à nos jours. 

 

rappeler Roland

« Rappeler Roland » Frédéric Boyer                       

C'est un refrain vieux de mille ans : La bataille est merveilleuse et totale. Une histoire consignée dans un vieux manuscrit de jongleur du XIIe siècle, un des premiers en notre possession entièrement rédigé en français.

Rappeler Roland est une triple proposition littéraire : un monologue écrit pour la scène (un jeune homme tente de rappeler à l'aide aujourd'hui un héros mort il y a plus de mille cinq cents ans) ; une nouvelle traduction en vers du texte médiéval (notre unique épopée en premier français); et un essai sur la Chanson de Roland et ses nombreuses énigmes, sur l'obsession des guerres et du combat, et l'art des batailles.

 

 

 

mots du moyen âge

« Les mots du moyen âge » Fabienne Calvayrac

Copain, dresser la table, cahier, glandeur…

… et si ces mots et ces expressions que nous pensons résolument contemporains venaient en fait du Moyen Âge ?

 

 

écritures catares

« Ecritures cathares » René Nelli

Nouvelle édition actualisée et complétée de textes retrouvés. Cet ouvrage avait été voulu, conçu et réalisé par René Nelli dès 1959, dans le but d'offrir au lecteur, sous une forme accessible - en traduction française - mais avec un souci permanent de rigueur historique et d'intelligence critique, l'ensemble des textes originaux écrits par les cathares, qui datent des XIe-XIVe siècles. Ecritures cathares se compose d'un apocryphe bogomile (I'Interrogatio Johannis ou Cène secrète), de deux traités (Traité anonyme et Livre des deux Principes), de trois rituels (rituel latin de Florence, rituels occitans de Lyon et Dublin), textes présentés, traduits et commentés par René Nelli. Ces écrits cathares rectifient avec infiniment de précision et de sensibilité la vision, parfois à l'emporte-pièce, des inquisiteurs, qui fut longtemps la seule source documentaire à disposition des chercheurs. Ils complètent heureusement l'information, là où béait une lacune, réorientent des perspectives qui paraissaient déroutantes. Décrit et décrié comme hérésie manichéenne par la polémique catholique médiévale, le catharisme se définit comme exigence chrétienne, dans ses propres livres.

 

 

 

mots des occitans

« Les mots des occitans » Michel Piquemal

Ceux qui arrivent dans notre Midi s’étonnent souvent de la façon dont nous assaisonnons la langue française.

Tous ces mots colorés sont en fait les traces de la vieille langue occitane qui a le génie du concret et de l’imagé.

Toujours vivante dans notre parler méridional du XXIe siècle, elle est un trésor qu’il nous appartient de partager et transmettre…

 

700 ans de révolte

« 700 ans de révoltes occitanes » Gérard de Sède

Histoire de l'Occitanie à travers le récit de ses combats pour la sauvegarde de son identité et de sa culture linguistique

 

 

 

 

 

 

 

Jeunesse

dennis fifty

« Denis Fifty-fifty » Olivier Coste                             

Denis Fifty-Fifty a 6 ans et demi, et fait tout à moitié... sauf les bêtises ! Un album irrésistible qui joue sur les mots avec délectation.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

vache éternuée

« Le jour où la vache a éternué » James Flora                   

Il y a fort à parier que ta vache n'a jamais fait un trou dans le mur de l'école en éternuant. Notre vache, si. Notre vieille vache, Mousse, a éternué si fort qu'elle a détruit la mairie, saccagé le zoo, et terrorisé toute la ville de Sassafras.
Bien sûr, ce n'était pas vraiment la faute de Mousse si elle a éternué si fort. Mon frère, Fletcher, est le vrai coupable...
Un album plein de culbutes et de rebondissements, où une étourderie de rien du tout mène à la plus grande des catastrophes !
Par un très grand illustrateur américain des années 1960.

« Julot sur le Canal du Midi » Lionel Hignard

Bonjour, je m’appelle Julot. Cet été, je pars en voyage avec mes grands –parents. Nous irons de Toulouse à Sète à bord d’une péniche sur le canal du Midi. Il nous reste juste à remplir le réservoir d’eau potable et on largue les amarres. Laissez moi vous présenter mes grands-parents et quelques-uns de leurs amis. Ce sont de véritables amoureux du canal ; ils sont incollables sur la vie et son histoire.

 

amphoralix

« Amphoralix » Daniel Royo

Amphoralix est un petit garçon ; il va bientôt avoir six ans. Ce bout de pot cassé, il l'a trouvé au bord du chemin : Le chemin qui mène au puits.

 

 

 

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